Ils se sont unis civilement le 1er juillet mais Charlène avait réservé le blanc pour le mariage religieux.

Les observateurs avaient vu juste. C’est Giorgio Armani qui est à l’origine de cette pièce absolument hors-norme. La coupe sculpturale met parfaitement en valeur la silhouette de Charlène, et ne fait que décupler l’émotion du souverain qui l’attend dans son uniforme d’été de carabinier. Sur la place du Palais transformée en cathédrale pour l’occasion, les monégasques sont eux aussi séduits par la pièce immaculée portée par Charlène.
Des cristaux Swarovski par milliers
En confiant sa robe à Giorgio Armani, Charlène Wittstock faisait déjà un choix princier. 40 000 cristaux de Swarovski, 30 000 perles dorées, 20 000 gouttes de nacre, 50 mètres de satin duchesse, 5 mètres de traîne, 80 mètres d’organza de soie… Tout ce qu’il y a de mieux pour la création de cette pièce sur mesure devenue emblématique. Ancienne nageuse professionnelle, sa carrure est sublimée par le col Bardot de la robe blanc cassé. La coupe fourreau est aussi parfaite pour les 1,77m de la mariée ! Le résultat est comme attendu, renversant.

Les détails aussi sont soignés. Le créateur Giorgio Armani a pensé à tout, jusqu’à son bouquet qu’il a imaginé… Ce n’étaient pas les seules fleurs sur la tenue de la future princesse, les broderies qui partent du bustier et tombent jusqu’au bas de son jupon étaient elles aussi des compositions florales. Et scintillantes. Pour être vue par les nombreux monégasques qui ont fait le déplacement, Charlène avait opté pour une traîne imposante, dite à l’andrienne, de cinq mètres ! Ce bijou intemporel a nécessité environ 2500 heures de travail, une patience qui a marqué l’Histoire. Quand la haute couture rencontre la principauté.
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